1 s par leur force de rayonnement. La mobilité des industries nouvelles, et leur indépendance par rapport au sous-sol, provoquent l

2 uments traditionalistes. — Des représentants de l’ industrie , et quelquefois de la culture, croient distinguer dans les projets d’

3 erger, délégué du Vorort de l’Union suisse pour l’ industrie et le commerce. ⁂ Résumons maintenant les arguments inverses qu’invoq

4 rché commun qui les amène. C’est l’expansion de l’ industrie suisse, aux destinées de laquelle le délégué du Vorort n’est pas tout

5 , mais il a le devoir de freiner l’expansion de l’ industrie suisse, cause directe du « mal » en question, si c’en est un. Mais il

6 phique, l’urbanisation galopante, la mobilité des industries , et par suite les nouvelles concentrations de ressources intellectuel

7 s sont très utiles à l’économie, au commerce, à l’ industrie , au PNB, produit national brut. Je voudrais qu’on fasse aussi une pet

8 tout soit fait dans ses limites. Il lui faut une industrie automobile, une industrie aéronautique, il lui faut des ordinateurs,

9 imites. Il lui faut une industrie automobile, une industrie aéronautique, il lui faut des ordinateurs, il lui faut un synchrocycl

10 ont je refuse absolument que ce soit simplement l’ industrie qui les fixe. […] M. de Rougemont : Je voudrais répondre quelques m

11 ol, monnaie et programmes scolaires, politique et industrie , et les régir à partir d’un centre unique de décision, par le moyen d

12 phique, l’urbanisation galopante, la mobilité des industries , et par suite les nouvelles concentrations de ressources intellectuel