1 est-à-dire sert sa politique ou son tourisme, ses industries du cinéma ou de l’édition, ses laboratoires nationaux, certains group

2 plement aux subventions de certains États à leurs industries déficientes. Si l’on croyait à la culture comme on croit au pouvoir é

3 cès de leurs entreprises, financées par certaines industries que l’idée seule d’Europe unie pousse aux dernières extrémités, je ve

4 nd. Car ainsi qu’aimait à le dire un grand chef d’ industrie français, ce n’est pas au pied du mur qu’on connaît l’ouvrier, c’est

5 refois que pur divertissement est passé au rang d’ industrie . Ces divers processus ne peuvent que s’accélérer dans l’ère où nous e

6 ndu en Europe qu’à partir de 1950. C’est donc une industrie tout à fait nouvelle. Les premiers microsillons ont été consacrés, co

7 bert Hoover, alors Secrétaire du Commerce et de l’ Industrie , et réputé le plus honnête des ministres du président Harding. Hoover

8 ort ». Cela correspondait à la période noire de l’ industrie , la période du charbon. Maintenant que nous sommes passés à la périod

9 sont vitaux pour la technique et par suite pour l’ industrie elle-même. Pas de bonne technique sans une culture vivante, curieuse

10 a pas de meilleur investissement pour les grandes industries . Une métropole digne de ce nom devrait donc financer en grande partie

11 , et enfin les représentants des plus importantes industries implantées dans la région. Tous parlaient au nom de leur expérience p

12 foule croissante de travailleurs et de curieux. L’ industrie et l’État, plus que jamais, ont besoin d’elle. Si elle est devenue tr

13 ns par exemple qu’ils ne peuvent pas copier notre industrie et garder leurs rites, manger leurs vaches et continuer à les tenir p

14 phique, l’urbanisation galopante, la mobilité des industries , et par suite les nouvelles concentrations de ressources intellectuel

15 des eaux, de l’air, des corps et du sommeil par l’ industrie et par l’auto est-elle un produit spécifique de notre société de cons

16 t d’imposer de toute urgence au développement des industries (auto, avion en premier lieu) et de leurs innovations plus polluantes

17 aritime ou agricole, ressources naturelles pour l’ industrie , etc.), est en fait beaucoup plus indépendante de ses établissements

18 nnées 1950 pour relever ses ruines, restaurer son industrie , son commerce et sa technologie. Il fallait unir à cette fin nos maig

19 x, on a vu que cela ne suffisait pas. Restaurer l’ industrie , augmenter la productivité, animer le commerce mondial, très bien, c’

20 , certains seront tentés par l’exportation de nos industries , donc de la pollution industrielle, dans le tiers-monde, où il y a en

21 us les rend), mais elles ont fouetté technique et industrie , qui ont causé surpopulation, famines, pollution des océans et de l’a

22 désert ; ajoutez-y l’art du forage des puits et l’ industrie automobile, le même désert vaudra des milliards de dollars. Ce mouvem