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rope en partie ruinée ? Mais elle relève déjà ses
industries
; et l’URSS n’a pas été traitée mieux qu’elle, qu’on s’en souvienne.
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foule croissante de travailleurs et de curieux. L’
industrie
et l’État, plus que jamais, ont besoin d’elle. Si elle est devenue tr
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che aux besoins de la société et notamment de son
industrie
. Car une société, de même qu’une science ou une technique, dont les p
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i à tous les peuples avancés sous le rapport de l’
industrie
et de la technique. Et ils les forcent à reposer des questions diffic
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mblerait que tout le monde « gagne » à ce jeu : l’
industrie
qui y trouve le moyen d’accroître nos exportations, le peuple suisse
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t le niveau de vie matérielle dépend surtout de l’
industrie
, enfin les travailleurs étrangers, dont les salaires dépendent de ce
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t dans nos mœurs. Je n’en dirais pas autant d’une
industrie
dont l’essor défigure nos paysages, détruit nos forêts et nos champs,
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pirons, et à la longue nos sensibilités. Si notre
industrie
suisse refuse de calculer le prix humain de son essor, ses contrecoup
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lga, et qui est maintenant le cœur du bassin de l’
industrie
lourde de l’URSS. Exactement ce qu’est la Ruhr pour l’Allemagne. Côté