1 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
1 construction, de transport et de gouvernement, d’ industrie , de médecine. — et nos armes, quitte à les tourner contre nous. Que s
2 notre culture, de Calvin et de Marx, et de notre industrie qui est née de nos savants et de nos philosophes. De tout cela, Messi
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
3 u plein emploi ; une seule méthode : étatiser les industries  ; un seul pays qui ait su le faire : la Grande-Bretagne ; et ce pays
3 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
4 eurs. Il a été de toute évidence le créateur de l’ industrie automobile. II Hubert de Senarclens : On parle de la voiture q
5 ante ans la voiture est devenue le numéro un de l’ industrie mondiale. L’index de la conjoncture économique c’est véritablement la
6 temps les numéro un et deux de toutes les grandes industries . C’est personnellement un phénomène qui m’impressionne beaucoup. Car
7 aux gens s’ils sont pour ou contre. Les PDG de l’ industrie automobile française réunis dans une émission de midi à 14 heures n’o
8 ste un chiffre assez « intimidant » à propos de l’ industrie automobile : 30 millions d’emplois dans les sept pays producteurs mem
9 eux-mêmes sont les fournisseurs de bien d’autres industries , allant des tracteurs à l’armement, en passant par l’aéronautique. L’
10 rs à l’armement, en passant par l’aéronautique. L’ industrie est un tout et dans le cas de l’automobile, elle débouche sur une qua
11 où l’on subordonne l’économie et en particulier l’ industrie automobile à cette affaire d’emploi. Mais n’y a-t-il vraiment pas d’a