1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
1 chitecture hindoue ne le cède pas à la nôtre, les industries artisanales du textile, du papier, de l’imprimerie, d’abord en retard
2 endes et records, donne une telle consistance à l’ industrie de l’auto, qu’on oublie qu’elle est née d’un fantasme (au sens précis
3 brutales de ceux que l’on baptise « capitaines d’ industries  » et qui s’inspirent et s’autorisent des précédents de la Révolution
4 , et de ces derniers aux fondateurs de nombreuses industries modernes. Léonard Euler, piétiste de Bâle, ne fut pas seulement le pl
5 t, lorsque l’ambition déchaînée des Napoléon de l’ industrie s’en empare sans plus de scrupules. Le paradoxe profond de l’ère tech
6 laboratoires de recherches au service des grandes industries . 69. Traiter avec le dieu du feu qui apparaît — sur deux points de l
7 me romain de prolétaires, appliqué aux ouvriers d’ industrie , fut introduit par Sismondi dès 1819. Trente ans plus tard, Marx pouv
8 r il pourra le devenir dès que les bénéfices de l’ industrie seront distribués aux ouvriers non seulement sous la forme d’une dimi
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
9 sitôt des centres d’attraction pour le capital, l’ industrie , la spéculation bancaire et la diplomatie des États. Tout cela sans q
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
10 Elle résulte du développement anarchique de l’ industrie , dans un milieu de civilisation qui multiplie les résistances au plei