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ne s’est approché plus que lui du type idéal de l’
industriel
et du capitaliste. Le succès immense de ses livres1, sa popularité un
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ncore cette production. Ford est le plus puissant
industriel
du monde ; le plus riche, au point qu’il peut parler d’égal à égal av
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u’y applaudir, semble-t-il, en souhaitant que les
industriels
européens s’en inspirent toujours plus. Ford leur montre le chemin qu
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it récemment un économiste. Ford, perfection de l’
industriel
, offre au monde moderne le premier exemple de son achèvement intégral
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est satisfait ou a disparu. Il semble alors que l’
industriel
n’ait plus qu’à plier bagage. Mais c’est ici que Ford montre le bout
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ut. Autrement dit, il est trompé par la baisse. L’
industriel
comptait. La tromperie est préméditée. Et le scandale, à mon sens, n’
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itée. Et le scandale, à mon sens, n’est pas que l’
industriel
ait forcé (psychologiquement) le client à faire une dépense superflue
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s cet aveuglement fondamental n’empêche pas notre
industriel
de philosopher sur les sujets les plus divers. Les aphorismes sont as