1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 ne s’est approché plus que lui du type idéal de l’ industriel et du capitaliste. Le succès immense de ses livres1, sa popularité un
2 ncore cette production. Ford est le plus puissant industriel du monde ; le plus riche, au point qu’il peut parler d’égal à égal av
3 u’y applaudir, semble-t-il, en souhaitant que les industriels européens s’en inspirent toujours plus. Ford leur montre le chemin qu
4 it récemment un économiste. Ford, perfection de l’ industriel , offre au monde moderne le premier exemple de son achèvement intégral
5 est satisfait ou a disparu. Il semble alors que l’ industriel n’ait plus qu’à plier bagage. Mais c’est ici que Ford montre le bout
6 ut. Autrement dit, il est trompé par la baisse. L’ industriel comptait. La tromperie est préméditée. Et le scandale, à mon sens, n’
7 itée. Et le scandale, à mon sens, n’est pas que l’ industriel ait forcé (psychologiquement) le client à faire une dépense superflue
8 s cet aveuglement fondamental n’empêche pas notre industriel de philosopher sur les sujets les plus divers. Les aphorismes sont as
2 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
9 73, et donnais pour exemple la crise énergétique, industrielle et monétaire où cinq ou six émirs de droit divin, un roi madré et un