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ux intérêts économiques de ma nation, que je sois
industriel
, ouvrier, paysan ou politicien, je me dis que quelque chose ne marche
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ance dans son effort d’adaptation à la révolution
industrielle
, se doit donc de faire part aux pays neufs de ses expériences duremen
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de demain la puissance, c’est-à-dire la puissance
industrielle
et militaire massive d’une sorte de troisième Grand préoccupé princip
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hniques et régionales, et soumettre la production
industrielle
au seul impératif de l’élévation perpétuelle du PNB — cette tour de B
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ens et d’autonomie des communautés (la production
industrielle
n’étant qu’un des moyens de ces libertés), alors il faut reconnaître
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nnes, la concertation rationnelle des productions
industrielles
et agricoles. Mais elles ne servent absolument à rien pour arrêter ce