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es, qui ne concernent pas l’homme de la rue, ni l’
industriel
ou le banquier. Jadis centrale, la situation de la culture est devenu
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Le 14 novembre 1953, une quinzaine de personnes —
industriels
, banquiers, hommes politiques, dirigeants d’organisations internation
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le avec l’étatisme, la propagande et la technique
industrielle
, a produit la « guerre totale ». De la guerre totale est sorti le pre
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tique et le radar ; la rationalisation du travail
industriel
, le syndicalisme et les coopératives ; la construction métallique et
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que, irrigation, crues du Nil assagies, puissance
industrielle
doublée, cultures augmentées de près d’un tiers. Mais aujourd’hui, l’
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par exemple développer à tout prix la production
industrielle
, ou veut-on d’abord respecter les équilibres écologiques et psycholog
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ignées des problèmes précis qu’ont à résoudre les
industriels
, et qu’un institut spécialisé comme le Battelle Memorial s’est donné
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, pour une entreprise culturelle. J’allai voir un
industriel
qui fabrique d’énormes turbines. Il m’écouta, distrait d’abord, puis
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l’industrie ; or le moteur de notre développement
industriel
, c’est la technique, fille de la science, et d’une science étroitemen
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strés par les bureaux d’études des grandes firmes
industrielles
ou des offices de recherches militaires. Mais ce sont, après tout, de
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ons occidentales, ce fut le sort des travailleurs
industriels
, de cet immense prolétariat créé par l’expansion subite du machinisme
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st alors que Karl Marx peut décrire le prolétaire
industriel
comme le « complément vivant d’un mécanisme mort ». C’est alors vérit
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réseaux si serrés d’interdépendance économique et
industrielle
, qu’un conflit armé entre deux de nos nations est devenu impraticable
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mes de races, mais des problèmes de développement
industriel
et éducatif, d’inégalité sociale, et contrairement à l’Europe, elle r
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onale, et du degré de liberté qu’ils laissent aux
industriels
anarchistes, ceux qui exploitent et détruisent sans scrupule le sol,