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ns pas conscience, je ne donne pas lourd de notre
indépendance
. Lt D. de Rougemont III/20. q. « Pourquoi nous sommes là », La DAC,
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té vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre
indépendance
nationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par d
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ationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre
indépendance
par des fortifications. C’est l’intérieur du pays qu’il nous faut mai
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eutralité et l’inviolabilité de la Suisse, et son
indépendance
de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
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ts qui entouraient la Suisse fut notre garantie d’
indépendance
. Cet équilibre vient d’être rompu. La Suisse est réduite à elle-même.
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nt un scandale humain, mais une menace pour notre
indépendance
, une proie facile pour certaines propagandes. À l’inverse, chaque occ
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out simplement renoncer à une belle part de notre
indépendance
. C’est renoncer à nous défendre intégralement. Et c’est enfin céder s
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c’est enfin céder sur un point décisif pour notre
indépendance
future, étant donnée la nature des guerres modernes, qui sont d’abord
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qu’une pareille attitude peut compromettre notre
indépendance
: elle l’affirme au contraire ! Le devoir de l’armée est de garantir
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est de garantir par la force l’intégrité de notre
indépendance
, et non pas seulement sa matérialité (le territoire). Le vrai patriot
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estige moral. C’est la première condition de leur
indépendance
, même matérielle. Nos réalistes — toujours en retard d’une guerre, d’
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et de sauver son avenir. Tel est le sens de notre
indépendance
, et telle est la mission spéciale qui justifie notre neutralité. aj