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en les obligeant à se défendre au nom sacré de l’
indépendance
d’un pays. Pour sortir de l’impasse, on pourrait recourir à un précéd
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l’Europe recouvre, au temps des grands empires, l’
indépendance
de décision qui échappe en fait à ses nations. b) Libération des
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t. La mobilité des industries nouvelles, et leur
indépendance
par rapport au sous-sol, provoquent la naissance de complexes à la fo
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onditions de fait, leur souveraineté et même leur
indépendance
, au sens classique de ces expressions ? Aucun de nos pays n’est en me
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les choses étant ce qu’elles sont », la notion d’
indépendance
n’a pas déjà cédé le pas, en fait plus encore qu’en droit, à la notio
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Confédération recevra en 1815 la garantie de son
indépendance
et même de sa neutralité « dans les intérêts de l’Europe entière ». S
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— La neutralité intégrale reste la base de notre
indépendance
et « l’étoile fixe sur laquelle se règle la politique étrangère de la
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té n’a jamais été qu’un moyen au service de notre
indépendance
; « elle ne fait pas partie de l’essence de la Confédération » (prof.
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une prudence aveugle, et sous le prétexte d’une «
indépendance
» dont notre peuple n’est pas disposé plus qu’un autre à payer le pri
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suisse s’est définie comme état d’esprit. 16. «
Indépendance
de la Suisse et neutralité », conférence au congrès de l’Union europé
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nheim, Organisations économiques supranationales,
indépendance
et neutralité de la Suisse, Bâle, Société suisse des juristes, 1963.
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qu’on tient pour énergique dans les casernes, une
indépendance
d’esprit qui chez un officier plus jeune n’eût pas manqué d’être taxé
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nés aux mythes de la souveraineté absolue et de l’
indépendance
(ils n’osent plus parler d’autarcie), nos États-nations n’ont plus d’
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e contentent de proclamer leur volonté farouche d’
indépendance
et leur souveraineté absolue, dont ils refusent de rien déléguer à un
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ation, sa volonté de souveraineté absolue, donc d’
indépendance
totale, donc d’autarcie, qui est son ambition proprement impériale. C
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ire laisser nos États continuer à prétendre à une
indépendance
de moins en moins croyable, et qui se borne en fait à la liberté (sou
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té à l’État fédéral français. La lutte pour notre
indépendance
nationale ne peut être menée que dans le cadre de l’Europe unie, laqu
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, mais en termes de rayonnement, non plus par son
indépendance
mais par la nature et la structure de ses relations d’interdépendance
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ns d’interdépendance. D’ailleurs, le terme même d’
indépendance
est en train de perdre son sens ancien, stato-national, majestueux et
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mbrageux. Louis Armand remarque que « la notion d’
indépendance
économique a changé complètement de contenu. Le mot “indépendance” a
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nomique a changé complètement de contenu. Le mot “
indépendance
” a perdu son sens simpliste d’autrefois. C’est maintenant une questio
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rais, pour ma part, que l’on substitue au terme d’
indépendance
celui d’autonomie, qui a l’avantage de rappeler le gouvernement des c
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berté modeste mais bien réelle, aux ivresses de l’
indépendance
absolue mais illusoire dont se vantaient les États-nations. Enfin, il
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des diversités, des autonomies et des volontés d’
indépendance
, inspire les mouvements de résurgences communalistes, régionalistes e
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petit pour assurer ce qu’on persiste à nommer son
indépendance
et sa souveraineté absolue : car nul pays de notre Europe n’est plus
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universelle dans tous les ordres tend à réduire l’
indépendance
d’un État à une certaine liberté dans le choix de ses dépendances, à