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près nos dernières positions dans le monde, notre
indépendance
politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons t
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vrait comprendre que son élan irrésistible vers l’
indépendance
nationale ne sera plus arrêté par l’Europe, mais qu’au contraire une
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iser » peut prendre aux yeux de certains un air d’
indépendance
: ne serait-ce pas le seul moyen « concret » d’obtempérer à l’ordre h
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la souveraineté de son pays, mais bien celle de l’
indépendance
de toute l’Europe. La vraie réponse ne sera donc pas de forcer milita
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s, mais simplement le résultat de l’automation. L’
indépendance
d’un peuple ou d’un groupe de nations ne se défendra plus sur ses fro
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sur notre dos, au prix de nos libertés, de notre
indépendance
et de notre rôle dans l’histoire. L’idée de neutralité résulte ici de
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e jeu d’ambitions étrangères, au détriment de son
indépendance
. Il doit alors se mettre en mesure d’assurer tout seul sa défense. Au
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oïsme cynique et l’indifférence de l’autruche.
Indépendance
et neutralité L’idée d’étendre à toute l’Europe une neutralité « à
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er son épingle du jeu, et d’un besoin plus fier d’
indépendance
. Je ne sais qui a pu écrire que « seul un État neutre est vraiment in
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ies — mais alors c’en sera fait de l’espoir d’une
indépendance
reconquise. Et qui se laissera convaincre de « désengager » les États
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n s’aperçoit que la seule question concrète est l’
indépendance
de l’Europe. Car il faut être indépendant pour rester neutre ou pouvo
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aussi de leur offrir le grand risque commun de l’
indépendance
reconquise, leur paraîtrait sans doute plus attirante que le service
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u’elle soit capable de défendre et d’affirmer son
indépendance
politique à l’échelle planétaire, seule valable aujourd’hui, — bref,
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s qui se trouvent en jeu neutralisme, neutralité,
indépendance
et interdépendance… Essayant de repérer pour ma part les résultantes
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, appliqué à l’Europe unie, n’est rien d’autre qu’
indépendance
. c) Mais cette indépendance n’existerait vraiment que par rapport à
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’est rien d’autre qu’indépendance. c) Mais cette
indépendance
n’existerait vraiment que par rapport à l’URSS et aux États-Unis. Ell
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nt le catalogue de Sears Robuck, la Déclaration d’
indépendance
, Walter Winchell et Billy Graham comme reporters : elle ne rattrapera
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ue, démographique) faisant présager la perte de l’
indépendance
, suivie de l’imposition d’un système de valeurs étranger. Regardons a
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— La neutralité intégrale reste la base de notre
indépendance
et « l’étoile fixe sur laquelle se règle la politique étrangère de la
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été qu’un moyen politique mis au service de notre
indépendance
; elle n’est pas affirmée par la Constitution ; « elle ne fait pas pa
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d’une prudence aveugle et sous le prétexte d’une
indépendance
dont notre peuple n’est pas disposé plus qu’un autre à payer le prix
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osés d’interdépendance fédérale peuvent assurer l’
indépendance
relative (car il n’en existe pas d’autres) d’une communauté politique
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tionnel : sa neutralité, son inviolabilité et son
indépendance
de toute influence étrangère sont reconnues solennellement, pour des
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autres. La Suisse perdrait dans cette affaire son
indépendance
et ses caractéristiques nationales. Ce serait vouloir soumettre toute
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nheim, Organisations économiques supranationales,
indépendance
et neutralité de la Suisse, Bâle, 1963. 143. Cf. E. Perron, « Éloge
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mise en commun une diminution quelconque de leur
indépendance
, bien au contraire : sans le CERN, leurs savants seraient frustrés d’
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l’extérieur, il refuse toute union, alléguant une
indépendance
et une souveraineté absolues aussi peu défendables en droit qu’elles