1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 près nos dernières positions dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons t
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
2 vrait comprendre que son élan irrésistible vers l’ indépendance nationale ne sera plus arrêté par l’Europe, mais qu’au contraire une
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
3 iser » peut prendre aux yeux de certains un air d’ indépendance  : ne serait-ce pas le seul moyen « concret » d’obtempérer à l’ordre h
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
4 la souveraineté de son pays, mais bien celle de l’ indépendance de toute l’Europe. La vraie réponse ne sera donc pas de forcer milita
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
5 s, mais simplement le résultat de l’automation. L’ indépendance d’un peuple ou d’un groupe de nations ne se défendra plus sur ses fro
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
6 sur notre dos, au prix de nos libertés, de notre indépendance et de notre rôle dans l’histoire. L’idée de neutralité résulte ici de
7 e jeu d’ambitions étrangères, au détriment de son indépendance . Il doit alors se mettre en mesure d’assurer tout seul sa défense. Au
8 oïsme cynique et l’indifférence de l’autruche. Indépendance et neutralité L’idée d’étendre à toute l’Europe une neutralité « à
9 er son épingle du jeu, et d’un besoin plus fier d’ indépendance . Je ne sais qui a pu écrire que « seul un État neutre est vraiment in
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
10 ies — mais alors c’en sera fait de l’espoir d’une indépendance reconquise. Et qui se laissera convaincre de « désengager » les États
11 n s’aperçoit que la seule question concrète est l’ indépendance de l’Europe. Car il faut être indépendant pour rester neutre ou pouvo
12 aussi de leur offrir le grand risque commun de l’ indépendance reconquise, leur paraîtrait sans doute plus attirante que le service
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
13 u’elle soit capable de défendre et d’affirmer son indépendance politique à l’échelle planétaire, seule valable aujourd’hui, — bref,
14 s qui se trouvent en jeu neutralisme, neutralité, indépendance et interdépendance… Essayant de repérer pour ma part les résultantes
15 , appliqué à l’Europe unie, n’est rien d’autre qu’ indépendance . c) Mais cette indépendance n’existerait vraiment que par rapport à
16 ’est rien d’autre qu’indépendance. c) Mais cette indépendance n’existerait vraiment que par rapport à l’URSS et aux États-Unis. Ell
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
17 nt le catalogue de Sears Robuck, la Déclaration d’ indépendance , Walter Winchell et Billy Graham comme reporters : elle ne rattrapera
10 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
18 ue, démographique) faisant présager la perte de l’ indépendance , suivie de l’imposition d’un système de valeurs étranger. Regardons a
11 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
19 — La neutralité intégrale reste la base de notre indépendance et « l’étoile fixe sur laquelle se règle la politique étrangère de la
20 été qu’un moyen politique mis au service de notre indépendance  ; elle n’est pas affirmée par la Constitution ; « elle ne fait pas pa
21 d’une prudence aveugle et sous le prétexte d’une indépendance dont notre peuple n’est pas disposé plus qu’un autre à payer le prix
22 osés d’interdépendance fédérale peuvent assurer l’ indépendance relative (car il n’en existe pas d’autres) d’une communauté politique
23 tionnel : sa neutralité, son inviolabilité et son indépendance de toute influence étrangère sont reconnues solennellement, pour des
24 autres. La Suisse perdrait dans cette affaire son indépendance et ses caractéristiques nationales. Ce serait vouloir soumettre toute
25 nheim, Organisations économiques supranationales, indépendance et neutralité de la Suisse, Bâle, 1963. 143. Cf. E. Perron, « Éloge
26 mise en commun une diminution quelconque de leur indépendance , bien au contraire : sans le CERN, leurs savants seraient frustrés d’
12 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
27 l’extérieur, il refuse toute union, alléguant une indépendance et une souveraineté absolues aussi peu défendables en droit qu’elles