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anticléricalisme, une volonté presque insolente d’
indépendance
, avaient fait du nom de « Suisse » un synonyme d’esprit subversif, de
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tes religieuses, mais suffisamment assurée de son
indépendance
par les victoires qu’elle avait remportées sur les Français, les Impé
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ats nouveaux — ils réaffirmèrent solennellement l’
indépendance
, l’inviolabilité et la neutralité de la Confédération comme étant « d
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en si lâche n’était qu’une faible garantie pour l’
indépendance
des cantons, en un siècle qui allait voir surgir deux nouvelles puiss
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aissent que « l’inviolabilité de la Suisse et son
indépendance
de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
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s civilisations » devient la raison même de son «
indépendance
de toute influence étrangère ». On voit maintenant comment la neutra
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te époque (de 1864 à 1918) offrir des garanties d’
indépendance
à ces organismes naissants. En 1919, Genève fut choisie comme siège d
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garantir à la longue ses libertés civiques et son
indépendance
que si l’Europe vient à se fédérer, comme surent le faire il y a cent