1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 anticléricalisme, une volonté presque insolente d’ indépendance , avaient fait du nom de « Suisse » un synonyme d’esprit subversif, de
2 tes religieuses, mais suffisamment assurée de son indépendance par les victoires qu’elle avait remportées sur les Français, les Impé
3 ats nouveaux — ils réaffirmèrent solennellement l’ indépendance , l’inviolabilité et la neutralité de la Confédération comme étant « d
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
4 en si lâche n’était qu’une faible garantie pour l’ indépendance des cantons, en un siècle qui allait voir surgir deux nouvelles puiss
3 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
5 aissent que « l’inviolabilité de la Suisse et son indépendance de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
6 s civilisations » devient la raison même de son «  indépendance de toute influence étrangère ». On voit maintenant comment la neutra
7 te époque (de 1864 à 1918) offrir des garanties d’ indépendance à ces organismes naissants. En 1919, Genève fut choisie comme siège d
8 garantir à la longue ses libertés civiques et son indépendance que si l’Europe vient à se fédérer, comme surent le faire il y a cent