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ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son
indépendance
. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
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utre part que les libertés dont nous bénéficions (
indépendance
relative de la culture par rapport aux pressions politiques, national
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iste pas ; car toute censure suppose une certaine
indépendance
de la production intellectuelle ou des sources d’information, or cett
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llectuelle ou des sources d’information, or cette
indépendance
est exclue à priori. « Informateur et censeur ne font qu’un… ce qui r
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otre puissance, même matérielle, et donc de notre
indépendance
. Si maintenant nous voulons fonder l’Europe unie sur une base ferme e
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près nos dernières positions dans le monde, notre
indépendance
politique, économique, et par suite morale. Tout ce qui fait le sens
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eler, et sur les slogans qu’elles accréditent : «
indépendance
nationale », « danger allemand », « offensive de paix russe », « impé
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moral de l’Europe, en restaurant le sens de notre
indépendance
et de notre vocation particulière. Il ne s’agit pas ici d’idéalisme f
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cette faiblesse matérielle est la rançon de notre
indépendance
de tous partis, intérêts nationaux, groupements d’États ou même super
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tachement instinctif au sol, au milieu natal, à l’
indépendance
concrète du groupe. Cependant, malgré les efforts d’un Barrès ou d’un
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près nos dernières positions dans le monde, notre
indépendance
politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons t