1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 rés de collines et de montagnes ; sept absolument indépendantes l’une de l’autre, dépendant uniquement des autorités d’un canton — et
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 ute de la France en juin 1940 ; unique démocratie indépendante subsistant au milieu d’un continent envahi ; dernier vestige d’une Eu
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 es agrariens un ; les libéraux conservateurs, les indépendants et les communistes n’en ont point. Quelques tentatives pour élargir l
4 paysans, artisans et bourgeois), et le parti des Indépendants . Les radicaux ont été les plus nombreux aux Chambres durant près d’un
5 unes paysans constitue son aile gauche. Quant aux Indépendants , ils se distinguent par un esprit d’entreprise qui fait oublier leur
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
6 nu national Employés et salariés Personnes indépendantes Capital 1938 481 215 301 1946 553 234 212 La part du capital es
7 vangéliques 13 368 ; Union syndicale des ouvriers indépendants  : 15 492.
5 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
8 ur la Bourgogne actuelle pour y fonder un royaume indépendant . Les Burgondes professent l’arianisme et ne se mêleront avec la popul
9 site à Paris. 42. Les syndicats catholiques sont indépendants de ce parti, et beaucoup plus progressistes.
6 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
10 s les rendaient « immédiats à l’Empire », et donc indépendants de leurs puissants voisins : condition nécessaire de leur mission eur