1 sé dans un type humain. Immobile, j’étais presque infiniment variable, indéterminé. Et c’est le voyage qui me fixe. Je rayonnais,

2 arborescence est une musique vivante, une musique infiniment lente. Elle fraie des pistes délicates dans l’esprit de qui sait l’en

3 s dérobe : la nudité, la plénitude et la violence infiniment comblée. Oui, je sus que l’échange de deux regards est infini, est in

4 en assez à faire dehors, et le peuple m’intéresse infiniment . Hier, je suis resté longtemps au marché, et j’ai bien regardé comme

5 st perdu ! il est bon de se souvenir que tout est infiniment plus perdu que nous ne pouvons l’imaginer dans nos instants de lucidi

6 , le fanatisme religieux le plus obtus s’opposent infiniment moins à notre image scientifique du monde que cette petite phrase si

7 s que Dieu est fou selon nos normes rationnelles, infiniment plus fou que tout ce que nous pouvons imaginer de lui… Avant d’aller