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hmittelalterlichen Weltbildes um 1200. Ce travail
infiniment
méticuleux (aux répétitions épuisantes) d’un savant philologue allema
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ut accueillir le samsara (qui est la vie diverse,
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mouvante). Au contraire, Eckhart verra Dieu présent dans toutes les c
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thique de Don Juan peut s’expliquer par sa nature
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contradictoire. Don Juan, c’est à la fois l’espèce pure, la spontanéi
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ux proportions d’une passion consciente, intense,
infiniment
intéressante… Or c’est la douleur seule qui rend consciente la passio
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à l’absurde ; mais c’est plus qu’une synthèse, et
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plus et autre chose qu’une « solution », pour qui croit que Dieu est
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le monde fini que dans la conscience de sa perte,
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féconde pour son génie ; il ne recouvra pas Régine, mais ne cessa jam