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sé dans un type humain. Immobile, j’étais presque
infiniment
variable, indéterminé. Et c’est le voyage qui me fixe. Je rayonnais,
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arborescence est une musique vivante, une musique
infiniment
lente. Elle fraie des pistes délicates dans l’esprit de qui sait l’en
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s dérobe : la nudité, la plénitude et la violence
infiniment
comblée. Oui, j’ai su que l’échange de deux regards est infini, est i
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s emplois ou dignités, exerçaient leurs pouvoirs,
infiniment
enchevêtrés mais jalousement distincts, dans une capitale de trois-mi
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peau flottant d’un rose sombre. Tout la distingue
infiniment
du troupeau bavardant de ses compagnes. Si je rencontrais ses yeux, q