1
s lieux où ils agirent de leur vivant, et par les
influences
subies ou exercées. Pays de gens moyens, oui, disait Lucien Fèbvre.
2
transformés sans retour. Enfin, n’oublions pas l’
influence
mondiale de la pensée théologique de Karl Barth : elle dépasse largem
3
s’affirme. Le citoyen, naguère « démuni de toute
influence
politique appréciable » (Tocqueville) dans le cadre trop vaste et tro
4
nouvelle s’épanouit alors dans les Flandres. Elle
influence
bientôt la Bourgogne, et redescend vers l’Italie qu’elle enrichit de
5
on nous propose périodiquement : défense contre l’
influence
germanique d’une part, défense contre « Paris » d’autre part. La défe
6
nouvelle école s’épanouit dans les Flandres. Elle
influence
bientôt la Bourgogne, et redescend vers l’Italie qu’elle enrichit de
7
ses promesses ? Quelles furent son action et son
influence
en près de vingt années d’existence ? Comment voyez-vous son avenir ?
8
se que nous soyons complètement indemnes de toute
influence
américaine. Il y en a tout de même, ne fût-ce que le jazz. Nous avons
9
n, les limites correspondent à celles des aires d’
influence
de son ou de ses agglomérations principales. Si on exagère leur taill
10
e d’ajustements variables définis par des aires d’
influence
; là où l’on insistait sur la taille des domaines et sur des chiffres
11
s terrestres… » [réponse à un questionnaire sur l’
influence
d’André Gide] (printemps 1969)41 La lecture des Nourritures terres
12
, p. 9-10. Réponse au questionnaire suivant sur l’
influence
d’André Gide : « 1. a) Dans quelle mesure l’œuvre et la pensée de Gid
13
our blâmer sévèrement la guerre, au lieu d’être l’
influence
la plus oppressive que le monde ait jamais connue, elle deviendrait u