1 d’ouvrages européens, tous fort exacts dans leurs informations , de Tocqueville à André Siegfried, m’en avaient appris à l’avance. C’

2 upe et parle en connaissance de cause. L’Office d’ information de guerre (OWI) qui tenait le rang d’un ministère, et où j’ai travail

3 pal, ou si l’on veut, leur arme favorite, reste l’ information toute nue, ou presque. Sur 32 pages de leur édition quotidienne, le T

4 Je doute qu’un seul puisse être juste tant que l’ information sera remplacée par des jugements pathétiques. On me dit qu’il faudrai

5 France possède depuis la guerre un ministère de l’ Information dont, jusqu’à plus ample informé, je ne mettrai pas en doute l’utilit

6 e l’utilité. Mais elle ne possède pas d’organes d’ information dignes du nom. Sur quoi peut bien régner ce ministère ? J’imagine qu’

7 paraphrasez sur une colonne, en y mêlant d’autres informations de sources et de nature diverses, qui en recréent le contexte humain

8 ortage américain et le roman. Et c’est pourquoi l’ information , dans le sens large que je viens de suggérer, compte davantage que le

9 même de vérité, qu’il se sera moins embarrassé d’ informations en vrac et de sensations brutes, recherchées et subies jusqu’au point