1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 randes, trop de bruit, trop d’excitations, trop d’ informations assaillantes, trop de besoins induits par trop de publicité ; mais au
2 et les bureaux de l’État, à remplacer par de « l’ information traitée » ce qui relevait naguère de l’instinct, des coutumes ou du c
3 alculer, il faut un nombre sans cesse croissant d’ informations , qu’il faudra sans cesse mettre à jour. L’« homme d’affaires » jusqu’
4 e scrupules. Il faudra lui donner toujours plus d’ informations variées sans fin, pour que ses analyses systémiques se substituent au
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
5 ger sincèrement à son sujet. D’où le blocage de l’ information  : celle que dispensent les agences de l’État quand elles s’y voient c
6 années avant les premiers essais ; ou bien que l’ information de 1972 était fausse, totalement et délibérément. On nous annonce ens
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
7 ns retour, pour tous et pour chacun. La masse des informations de tous les ordres, nécessaires pour former la décision fatidique, n’
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
8 citoyens, et elles en gardent trop pour le peu d’ informations dont elles disposent. Trop petites à la campagne, trop grandes dans l
9 cation, de l’agriculture, etc. Il n’a que faire d’ informations prodiguées « au niveau national ». Il a besoin d’informations utiles
10 prodiguées « au niveau national ». Il a besoin d’ informations utiles à son échelle municipale. Elles lui manquent, et ce manque app
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
11 fédérales continentales, d’autre part, facteurs d’ information , donc de néguentropie. La lutte contre la pollution ne devient eff
12 le d’objectivité scientifique et de divulgation d’ informations nuisibles à l’accroissement du PNB. L’Assemblée nationale, dans son r
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
13 d’œuvre ; des mass médias et de tous les moyens d’ information  ; la prise de contrôle du management, de l’économie, des banques et d
14 dans leurs organes directeurs ; l’embargo sur les informations concernant la pollution des airs, des sols, des eaux et des aliments,
15 sion, de management, de politique économique et d’ information dans les bureaux de la capitale. Elle suppose une nation indivisible
16 tamment par les attributions budgétaires et par l’ information ) de telle manière que leur résultante générale pointe sans cesse vers
17 , et par la quantité, la qualité, la candeur de l’ information qu’il est en mesure de dispenser. Ce plus grand qui était l’État-nati
18 défendre ; enfin en mettant l’embargo sur toutes informations devenues vitales pour la survie du genre humain, guerre ABC, centrale
19 politique, l’arbitrage entre les régions, et leur information sans retard ni réserve, condition de leur autonomie. 168. Paul Val
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
20 pouvoirs de décision184. Prenons l’exemple de l’ information  : c’est le facteur principal, désormais, de tout pouvoir de décision.
21 aux destinées de la cité varient avec le degré d’ information pratiquement accessible au citoyen, au député, et au ministre. L’info
22 cessible au citoyen, au député, et au ministre. L’ information sur les problèmes locaux et régionaux étant (ou pouvant être) la plus
23 mmunautés plus larges capables de les assurer — l’ information devient moins directement accessible à l’individu, moins spontanément
24 les paraissent indispensables pour rassembler les informations provenant des relais régionaux, les traiter, en faire des synthèses,
25 ’on s’aperçoit une fois de plus qu’il n’y a pas d’ information utile sans réception intelligente, et que la capacité de relier des f