1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 prises, dans cette œuvre d’affirmation, une telle inquiétude , un amer « à quoi bon » percèrent soudain… Mais Montherlant se redres
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
2 trouve dans la manière dont ils tentent de fuir l’ inquiétude où ils baignent. Celui-ci vient à peine de quitter l’air dur des pamp
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 notre temps est en profondeur : c’est une unité d’ inquiétude . Barrès et Gide : ils ont construit des édifices très différents de s
4 u Dieu perdu. Il avoue enfin la cause secrète des inquiétudes modernes : la perte d’une foi. Il a besoin de Dieu, mais il attend en
5 an et Dada, il y a place pour tous les chaînons d’ inquiétude , de malaises, de révoltes plus ou moins complètes au gré des tempéram
6 l’on se contente d’une violence, d’un vice, d’une inquiétude . 8. « Certaines expériences littéraires sont plus dangereuses que de
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
7 Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)ag Il faut souhaiter que ce témoignage sur les générat
8 ution universelle, la foi, il résume en lui cette inquiétude qui fait la grandeur et la misère de l’époque — et qu’il avoue préfér
9 rchique : ce sont bien les grands traits de notre inquiétude . (Mais peut-être M. Rops a-t-il trop négligé le rôle extérieur, que j
10 ès avoir défini quelques « positions en face de l’ inquiétude  », M. Rops considère les deux solutions les plus parfaites qui s’offr
11 l’une (celle de Gide) ne fait que différer notre inquiétude , tandis que l’autre « ne ruine notre angoisse qu’en y substituant ce
12 deux solutions peuvent se résumer en deux mots : inquiétude ou foi. Dès lors sont-elles vraiment les deux termes d’un dilemme, l’
13 chemin qui mène à l’autre ? Car la foi naît de l’ inquiétude autant que de la grâce, et régénère sans cesse l’inquiétude autant qu
14 autant que de la grâce, et régénère sans cesse l’ inquiétude autant que la sérénité… Au reste, n’est-elle pas de M. Rops lui-même,
15 rmule admirablement les exigences conjointes de l’ inquiétude et de la foi : « Si tu as trouvé Dieu, il te reste à le chercher enco
16 le chercher encore… » ag. « Daniel-Rops : Notre inquiétude (Perrin, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genèv
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
17 t dire est une des plus tragiques inventions de l’ inquiétude actuelle. Sous couleur de démasquer l’humain, et par l’acharnement an
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
18 e récit d’un été de vacances, quand les premières inquiétudes du désir viennent troubler de ravissantes amours d’adolescents. Et c’