1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 tres civilisations, passées et présentes, par une inquiétude fondamentale et par la création de risques toujours accrus, remettant
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
2 la foi, qui est la confiance active, est aussi l’ inquiétude essentielle. Mais que devient l’éthique en tout ceci ? Elle est rempl
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
3 stiniens et Phéniciens — nous aient transmis leur inquiétude vagabonde et quelque chose de cet esprit d’exode dont on ne sait s’il
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
4 ur des causes de faiblesse : je veux parler d’une inquiétude fondamentale et d’un désordre permanent. Les Chinois et les Égyptiens
5 lus qu’en Amérique, nous souffrons d’une espèce d’ inquiétude essentielle. Nous ne cessons de parler du « désarroi de l’époque ». N
6 intellectuelles et pratiques. D’où viennent cette inquiétude fondamentale et ce désordre permanent, que les meilleurs esprits dépl
7 le christianisme et l’esprit scientifique. Notre inquiétude provient de notre foi, et nos incertitudes sont créées par la nature
8 quiet perpétuel, mais qui sait les raisons de son inquiétude  ; il sait qu’elle est normale, et non désespérée, puisqu’elle est pro
9 es. Mais c’est le principe même d’insuffisance, d’ inquiétude et parfois de désordre que suppose la recherche jamais finie, qui a p
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
10 nt toute transcendance, il détend le ressort de l’ inquiétude créatrice, et prépare un état statique de la culture et de la société