1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 e cas particulier. D’autant moins qu’en dépit des inquiétudes peut-être légitimes que je viens de signaler, j’inclinerais à penser
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
2 se : je veux parler d’une certaine incertitude ou inquiétude , d’un certain désordre permanent. Les Chinois anciens et les Égyptien
3 lus qu’en Amérique, nous souffrons d’une espèce d’ inquiétude générale. Nous ne cessons de parler du « désarroi de l’époque ». Nous
4 s, intellectuelles et pratiques. D’où vient cette inquiétude fondamentale ? D’où, ce désordre permanent que les meilleurs esprits
5 nt depuis des siècles ? Je ne pense pas que cette inquiétude et ce désordre soient accidentels. Je pense même qu’ils remontent aux
6 le christianisme et l’esprit scientifique. Notre inquiétude provient de notre foi, et nos incertitudes sont créées par la nature
7 quiet perpétuel, mais qui sait les raisons de son inquiétude  ; il sait qu’elle est normale, et non désespérée, puisqu’elle est pro
8 large de l’interpréter, la Science avance. Cette inquiétude perpétuelle, déterminée par les deux forces principales qui ont produ
9 nte de tout, d’une insatisfaction sans fin, d’une inquiétude créatrice de désordres, et de révolutions bien sûr, mais créatrice au
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
10 particulier ne deviendront-ils pas superflus ? L’ inquiétude qui entretient leur besoin ne sera-t-elle pas apaisée ? Le salut, le
11 question de principe subsiste : Est-il vrai que l’ inquiétude religieuse dépende de l’insatisfaction de nos besoins matériels, soci
12 aire la diffusion de la culture, et par là même l’ inquiétude métaphysique chez un nombre croissant d’humains de toutes les races,