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ffaire, et pour qu’elle devienne rentable. Mais l’
inspiration
est la même. Même esprit centralisateur ; même obsession de l’unité-b
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mais livré à ces extravagances naïves qu’on nomme
inspiration
, anxiété poétique, spéculations et scrupules d’écriture, toutes chose
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rté sont strictement corrélatives. Les surprises,
inspirations
et inventions sont rendues possibles et sensibles par la seule règle.
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lé, du sacré, de la rhétorique. Elle s’oppose à l’
inspiration
libre, au prophétisme. Ici apparaît la limite du jeu : dans le christ
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s : celles qui ont pour fonction de canaliser les
inspirations
inconscientes et affectives (rite, liturgie), puis de régler les rela
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a jamais vu réellement l’Amérique, sinon dans une
inspiration
lyrique, aussitôt ridiculisée par vingt petits faits précis, rebelles