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pas d’importance ». S’il est poète, il parlera d’
inspiration
, ou au contraire de rhétorique. Il ne sera jamais à court de bonnes r
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se crée dans l’âme au-dedans de nous : c’est une
inspiration
tout étrangère, un attrait qui agit du dehors, un emportement, un rap
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es, mais si paradoxal que cela paraisse, dans son
inspiration
elle-même, puisque celle-ci prend sa source dans un système fixe de l
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ela « tombe du ciel », c’est-à-dire jaillit d’une
inspiration
subite et collective — mais encore faudrait-il expliquer pourquoi ell
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présentation analogique de ce processus minimum d’
inspiration
et d’influence, prenons un exemple moderne. Un exemple dont je crois
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eu après, les ayant tous détruits à cause de leur
inspiration
sémite. Du moins sait-on par les pamphlets de ses adversaires que cet
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s laudes, pour être plus évidemment catholiques d’
inspiration
, n’en sont que plus « érotiques » ou « courtoises » de langage : Mon
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e l’eau de la chaudière de Cerridwen, qui donne l’
inspiration
aux bardes, guérit et ressuscite, c’est-à-dire élève l’initié à la vi
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s et traduits aujourd’hui en plusieurs langues. L’
inspiration
cathare et cistercienne s’y manifeste dans les formes rhétoriques du
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allemand, danois, anglais, etc. qui ne doive son
inspiration
à la tradition littéraire et religieuse issue aux xiie et xiiie siè
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de mon livre. Au sujet de la Quête du Graal, « d’
inspiration
cistercienne », il écrit : « La conception orthodoxe de l’histoire et
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s, ce qui serait absurde, que ce roman trahit une
inspiration
cathare… Mais le poète y assimile si curieusement l’attitude de Guill
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e Poème sur Boèce dont nous avons montré la nette
inspiration
cathare »243. Je cite ces « faits » pour essayer, une fois de plus, d