1 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
1  tandis qu’ailleurs, où l’on se battait, ils sont intacts . Mais ce n’est rien dans ce paysage aux lignes doucement précises, so
2 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
2 a vérité ne change pas pour si peu. Elle subsiste intacte et nous juge. Eux croient, s’ils changent d’avis par « intérêt vital 
3 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
3 venirs, à peine un peu plus ressemblant. Tout est intact . La brusquerie des employés intacte, quand on demande un petit rensei
4 lant. Tout est intact. La brusquerie des employés intacte , quand on demande un petit renseignement et qu’on les voit s’identifi
5 rplexe ou anxieux. La bonhomie des mêmes employés intacte , une fois qu’on leur a laissé le temps de revenir à leur naturel. (Et
6 rs au galop.) Les quartiers extérieurs des villes intacts , et si parfaits dans le propret-coquet scolaire 1910 que l’imaginatio
7 pide reconnaissance des lieux. J’ai revu des amis intacts , et dont l’amitié seule avait mûri comme un bon vin. Et j’ai feuillet
8 quels talents les méritent. Ce qu’il y a de plus intact en Suisse, peut-être, c’est le mythe helvétique par excellence d’une
9 ds et le Tout Petit, qui est la dernière paroisse intacte du continent. Un peu plus loin j’irais buter contre le fameux « ridea
10 Genève et sa cyclophilie torrentielle, allègre et intacte . Et j’ai revu la SDN le jour de sa liquidation publique, dans son pal
4 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
11 devoir d’une réserve est de maintenir ses forces intactes et alertées. Intacts nous le sommes, relativement. Alertés, je n’en s
12 est de maintenir ses forces intactes et alertées. Intacts nous le sommes, relativement. Alertés, je n’en suis pas sûr. L’ennui,