1 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
1 rovoque la stupeur du siècle. On demande s’il est intelligent . Ne voit-on pas qu’un homme intelligent, qu’il le soit très peu ou fo
2 s’il est intelligent. Ne voit-on pas qu’un homme intelligent , qu’il le soit très peu ou follement, si cela compte en lui le moins
3 reil ? Un génie n’est ni fou ni bête, ni sensé ni intelligent . Il ne s’appartient pas, n’a pas de qualités propres, de vices ou de
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
4 n ! Et ses plans sont irréprochables, paraît-il : intelligents et généreux, idéalistes, réalistes… » Le diable ne répondit rien, il