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nt dissoutes dans un réseau toujours plus serré d’
interdépendances
mécaniques proliférant sans contrôle ni orientation, par suite nivele
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, et ne peut faire autre chose que de choisir ses
interdépendances
. Aucun d’eux ne bénéficie plus des attributs classiques de la souvera
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s entités régionales, seules réelles, et de leurs
interdépendances
. Or ces entités sont souvent définies, géographiquement, par ce qui é
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cation continentale à base d’unités régionales en
interdépendances
globales. Dans tous ces domaines, l’articulation de la recherche fond
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s entités régionales, seules réelles, et de leurs
interdépendances
. Or ces entités sont souvent définies, géographiquement, par ce qui é
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cation continentale à base d’unités régionales en
interdépendances
globales. Dans tous ces domaines, l’articulation de la recherche fond
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ns nouvelles de l’Europe dans le monde (réseaux d’
interdépendances
régionales) qu’à réduire les autres pays européens à son idée traditi
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ation des problèmes à l’échelle mondiale, que les
interdépendances
augmentent et que des menaces sérieuses mettent en danger l’avenir de
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on pas la supériorité de « notre » pays, mais nos
interdépendances
désormais évidentes et nos complémentarités réjouissantes. Ainsi se n