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e chevillé au cœur le besoin d’obéir à des forces
invisibles
et de leur rendre un culte de latrie. Tous, nous servons ces dieux, t
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btil, d’autant plus respectable qu’il serait plus
invisible
. Et ce n’est pas non plus l’intelligence, ni la pensée, ni les fameus
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être qui joue tout sur la foi, c’est-à-dire sur l’
invisible
, contre toute vraisemblance. Prenons des exemples concrets. Un chréti
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ion serait pure, — si pure qu’elle en deviendrait
invisible
et qu’on pourrait n’en point parler. Mais les puissances mauvaises ré
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tement des hommes qui se reconnaissent à ce signe
invisible
et certain : ce sont des hommes, si grands qu’ils soient parfois, qui