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: la victoire de Tristan sur le Morholt. Ce géant
irlandais
vient, comme le Minotaure, exiger son tribut de jeunes filles ou de j
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portant son épée et sa harpe. Il aborde au rivage
irlandais
. La reine d’Irlande détient seule le secret du remède qui peut le sau
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ens de leurs mystères. Dans le cycle des légendes
irlandaises
, nous trouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un
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gique. D’autre part, plusieurs récits de ce cycle
irlandais
figurent les prototypes assez exacts des situations du Roman de Trist
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mythe. Qu’on lise l’une après l’autre une légende
irlandaise
et la légende de Béroul ou de Thomas : et l’on verra que d’un côté, c
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ommun au Midi languedocien et ibérique et au Nord
irlandais
et breton ; des coutumes de chevalerie féodale ; des apparences d’ort
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Bailé au doux langage, trad. G. Dottin (L’Épopée
irlandaise
, Paris, 1926). 96. Hubert, op. cit., II, p. 243-244. 97. Voir l’in