1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 : la victoire de Tristan sur le Morholt. Ce géant irlandais vient, comme le Minotaure, exiger son tribut de jeunes filles ou de j
2 portant son épée et sa harpe. Il aborde au rivage irlandais . La reine d’Irlande détient seule le secret du remède qui peut le sau
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
3 ens de leurs mystères. Dans le cycle des légendes irlandaises , nous trouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un
4 gique. D’autre part, plusieurs récits de ce cycle irlandais figurent les prototypes assez exacts des situations du Roman de Trist
5 mythe. Qu’on lise l’une après l’autre une légende irlandaise et la légende de Béroul ou de Thomas : et l’on verra que d’un côté, c
6 ommun au Midi languedocien et ibérique et au Nord irlandais et breton ; des coutumes de chevalerie féodale ; des apparences d’ort
7 Bailé au doux langage, trad. G. Dottin (L’Épopée irlandaise , Paris, 1926). 96. Hubert, op. cit., II, p. 243-244. 97. Voir l’in