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n de nos auteurs n’ait été pure de toute espèce d’
ironie
. Le plus grave, sans doute, c’est qu’ils croyaient bien faire. Et per
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rs imposée, de cet état me permet d’affirmer sans
ironie
qu’il n’en est pas de plus recommandable pour l’intellectuel soucieux
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ue des choses simples, raisonnables, parfois avec
ironie
, mais sans amertume ; et ses gestes sont souples, n’ont plus rien de
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suppose : la sobriété, la solidité, le refus de l’
ironie
, la bonhomie sérieuse, l’absence de toute complaisance à soi, le « dé
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vie au comble de la volonté de puissance et de l’
ironie
». Il me paraît que c’est bien à quoi devait aboutir le véritable et
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n de réellement destructeur dans cette réaction d’
ironie
désespérée. Seuls les constructeurs détruisent bien, détruisent avec
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. Le sens de la révolte se perd. Il se sublime, ô
ironie
, en rouspétance, en criailleries électorales, journalistiques. Il s’é
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philistins ont eu mauvaise conscience devant les
ironies
du romantique. Mais elles sont mises en pleine déroute par la simple