1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 n de nos auteurs n’ait été pure de toute espèce d’ ironie . Le plus grave, sans doute, c’est qu’ils croyaient bien faire. Et per
2 rs imposée, de cet état me permet d’affirmer sans ironie qu’il n’en est pas de plus recommandable pour l’intellectuel soucieux
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
3 ue des choses simples, raisonnables, parfois avec ironie , mais sans amertume ; et ses gestes sont souples, n’ont plus rien de
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
4 suppose : la sobriété, la solidité, le refus de l’ ironie , la bonhomie sérieuse, l’absence de toute complaisance à soi, le « dé
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
5 vie au comble de la volonté de puissance et de l’ ironie  ». Il me paraît que c’est bien à quoi devait aboutir le véritable et
6 n de réellement destructeur dans cette réaction d’ ironie désespérée. Seuls les constructeurs détruisent bien, détruisent avec
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
7 . Le sens de la révolte se perd. Il se sublime, ô ironie , en rouspétance, en criailleries électorales, journalistiques. Il s’é
6 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
8 philistins ont eu mauvaise conscience devant les ironies du romantique. Mais elles sont mises en pleine déroute par la simple