1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 eté sarcastique, d’un esprit pétulant, prompt à l’ ironie et aux métaphores baroques. Voyons maintenant dans quels termes Kierk
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
2 son tour lieu commun, a prospéré depuis, par une ironie noire, mais sans porter remède au mal. Je lui ajoute ici un exemple t
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
3 on les approuve tous ! Je le dis sans la moindre ironie , persuadé que l’Europe est un être d’esprit dont le centre est partou
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
4 est curieux de noter qu’à chaque fois un point d’ ironie frappe l’allusion. Ainsi, la mère du héros meurt très tôt (comme dans
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
5 hez Kierkegaard, cette présence s’accommode d’une ironie qui chez d’autres serait plutôt le fait du détachement. Une ironie à
6 ’autres serait plutôt le fait du détachement. Une ironie à l’intérieur des choses, qui les fouille et les purifie, une ironie
7 r des choses, qui les fouille et les purifie, une ironie née de la rigueur et non du scepticisme. Le dialogue de Laurence Ster
8 ue leur conception de l’« existence » et que leur ironie , ce qui rapproche Kassner et son maître, c’est leur vision tragique d
6 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
9 le malicieux Socrate, s’est semble-t-il marié par ironie , précisément pour démontrer la vérité de cette thèse.110 « Marie-to
7 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
10 t rationnel. Puissance ou liberté Or voici l’ ironie tragique de notre Histoire : c’est sur la base de cet obstacle radica