1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 et sacrée, dans sa pureté monumentale, comme une ironie salutaire sur nos complaisances tortueuses et sur notre impuissance à
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
2 ise, les spécialistes l’accablent des plus aigres ironies , en France surtout. Sismondi faisait remonter aux Arabes le mysticism
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
3 aité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’ ironie . Nous ne savons presque rien de Shakespeare, — mais nous avons le Son
4 r le xviie siècle. Ce refoulement du mythe par l’ ironie universelle, et le triomphe applaudi des « félons », préparent les pl
5 séparation essentielle. Tel est le tragique de l’ Ironie transcendentale, ce mouvement perpétuel du romantisme, cette passion
6 u monde… C’est ce moment de joie bizarre, né de l’ ironie métaphysique, qui fait défaut au romantisme français. Ici, les donnée
7 ce européenne, même orthodoxe, et par une sorte d’ ironie , donner sa rhétorique passionnelle au mysticisme des plus grands sain
4 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
8 ’invention de l’artillerie. « Et n’est-ce pas une ironie du sort qui fit que cette fleur des chevaliers errants à la mode de B
9 éponse du xviiie fut le cynisme de Don Juan et l’ ironie rationaliste. Mais le romantisme ne fut pas une réponse, à moins que
5 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
10 u philistin ont eu mauvaise conscience devant les ironies du romantique. Mais elles sont mises en pleine déroute par la simple