1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
1 est curieux de noter qu’à chaque fois un point d’ ironie frappe l’allusion. Ainsi, la mère du héros meurt très tôt (comme dans
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
2 eté sarcastique, d’un esprit pétulant, prompt à l’ ironie et aux métaphores baroques. Voyons maintenant dans quels termes Kierk
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
3 le malicieux Socrate, s’est semble-t-il marié par ironie , précisément pour démontrer la vérité de cette thèse.36 « Marie-toi
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
4 hez Kierkegaard, cette présence s’accommode d’une ironie qui chez d’autres serait plutôt le fait du détachement. Une ironie à
5 ’autres serait plutôt le fait du détachement. Une ironie à l’intérieur des choses, qui les fouille et les purifie, une ironie
6 r des choses, qui les fouille et les purifie, une ironie née de la rigueur et non du scepticisme. Le dialogue de Laurence Ster
7 ue leur conception de l’« existence » et que leur ironie , ce qui rapproche Kassner et son maître, c’est leur vision tragique d