1 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
1 ’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin , étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hau
2 lles des environs qui n’ont pas la ressource d’un jardin , ou qui ne « savent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité soci
3 . Vers la gare, il y a bien un parc municipal, le jardin d’un couvent désaffecté, mais je n’y vois jamais que des vieillards e
4 rancs de légumes. Or la vente des produits de son jardin est son seul moyen de gagner). Carré sur son tabouret de cuisine, le
2 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
5 enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin . Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
6 . De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le c
7 es gens. — Le village se termine au bout de notre jardin . Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne
8 j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du jardin . C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
3 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
9 étoiles sont très grosses et molles au-dessus du jardin . Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le