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. (Tout à fait réveillé et attentif, maintenant.)
Jardin
anglais. Soudain, des pelouses filent à gauche et à droite entre des
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n balcon, entre deux hautes colonnes, je vois des
jardins
florentins doucement lumineux, une vasque et des buis éclairés par-de
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une vasque et des buis éclairés par-dedans. Côté
jardin
, côté « cour »… Mais de quoi s’agit-il dans cette intrigue monotone e
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du philosophe, on m’entraîne par le bras vers les
jardins
. Des ballerines de l’opéra dansent autour d’une vasque, dans un théât
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Des rires en cape de velours s’enfuient vers les
jardins
.) Qu’il y ait eu ce regard, et que personne ne l’ait vu ! Ils ne save
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silence nouveau, nous entendons nos pas jusqu’aux
jardins
tendus en tapisserie entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
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oici que cèdent les amarres des pelouses, tout le
jardin
monte sans fin dans le frisson désespéré de l’aube, — et nous, au bor
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rend le sentier qui monte en zigzag à travers des
jardins
dont les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa baroque as
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tour d’une place rectangulaire qui ressemble à un
jardin
public, flanquée d’un temple blanc à deux clochers baroques, d’hôtels
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son quartier universitaire tout rajeuni dans des
jardins
luisants ne m’empêchera pas de m’y sentir au bout d’un monde, au bord
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x élégances bourgeoises et militaires, idylles de
jardins
publics à l’écart d’un concert du samedi soir, petits professeurs ent
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s lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des
jardins
! C’est devant une glace panachée qu’il m’arrive de douter de la vie,
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es marches enfouies sous les branches folles : le
jardin
est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brû
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de penser au fil du désordre lent de la vie d’un
jardin
, dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses.
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e passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce
jardin
éveille en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes b
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Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du
jardin
, du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nou
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lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un
jardin
aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai
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t d’éclats du couchant sur une fenêtre, jusqu’aux
jardins
abandonnés d’un palais fou au bord du lac de Garde ; puis plus tard,
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là du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce
jardin
et cette île, seront miens selon la puissance avec laquelle j’en saur
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enêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du
jardin
. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de s
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. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce
jardin
de curé qui a juste la largeur de la maison. On ne voit rien que le c
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es gens. — Le village se termine au bout de notre
jardin
. Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne
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j’écris à ma table, j’entends grincer la porte du
jardin
. C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle m
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pour recouvrir les routes et les allées de leurs
jardins
. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison, j’essaierai cela. La To
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lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au
jardin
, tous ces jours. Labouré et dessiné des planches, arraché de vieilles
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et digne poule noire qui habite seule au bout du
jardin
. Elle y est pourtant depuis notre arrivée, héritée du propriétaire. N
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tout à l’heure pour me donner un coup de main au
jardin
(je rapprends avec plaisir les petits trucs de plantage que je savais
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a un grand bonheur dans la lumière qui baigne le
jardin
fleuri, éclate sur la façade de la maison plus claire que le ciel vid
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étoiles sont très grosses et molles au-dessus du
jardin
. Mais il arrive que le noir soit compact. Je me dirige à peu près le
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mai 1934 Nous mangeons les premiers légumes du
jardin
: salades et radis. Pour les carottes, il faut encore attendre, et le
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elle ne changera guère… Mais il y a le travail au
jardin
: enfin, une chose qui rassure du seul fait qu’elle donne des résulta
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est fixe, à toute vitesse ! 5 juin 1934 Le
jardin
à sept heures du matin. Chaque jour, nous le découvrons ! Touffu, feu
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sein, vient parfois s’installer sur une chaise du
jardin
, et parle un peu de l’au-delà, et d’un sermon du curé, mais cela s’ég
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d’interrompre cette page pour faire mes adieux au
jardin
. Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont monté, le ca
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’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du
jardin
, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hau
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lles des environs qui n’ont pas la ressource d’un
jardin
, ou qui ne « savent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité soci
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. Vers la gare, il y a bien un parc municipal, le
jardin
d’un couvent désaffecté, mais je n’y vois jamais que vieillards en pa
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ancs de légumes. Or, la vente des produits de son
jardin
est son seul moyen de gagner.) Carré sur son tabouret de cuisine, le
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tifs, et obstinés. Après le déjeuner, flânant au
jardin
, je me penche par hasard au bord de la terrasse, et voilà que je déco
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ant une cour à deux étages. On devine un reste de
jardin
, avec quelques cyprès, une pierre tombale, et la margelle d’un puits.
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maison de maître, sur le flanc de la montagne, un
jardin
en terrasses, enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée
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e fermette 3 pièces meublées — 2 grandes cours et
jardin
— un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route
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es cours et jardin — un bras de rivière au bas du
jardin
— la maison donne sur la route en face de très grands prés, on peut p
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he de la ville. Grandes villas et palais dans des
jardins
, larges avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vend
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s douanier. Il cultive aujourd’hui un merveilleux
jardin
, dans un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins. Pendant
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sur le même ton du grand panda, le nouvel hôte du
Jardin
des Plantes, et du dernier livre de Huizinga, qui nous parvint hier d
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e Vienne, élégantes passions égarées, musique aux
jardins
jusqu’à l’aube… Un quart de tour, nouvelles de la bataille des Flandr
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s six pièces et cuisine d’un cottage entouré d’un
jardin
, à Forest Hills (Long Island). La vie américaine commence à m’amuser.
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ui, un château anglais entouré de terrasses et de
jardins
à la française, statues, pièces d’eau et boulingrins. Le ciel est som
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ew York, et voici les balcons, les terrasses, les
jardins
suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu, qu
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s milliardaires et des acteurs. Et tout près, ces
jardins
suspendus où circulent de jeunes femmes en maillot de bain. L’une se