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re qui est nu, qui a froid, qui a faim, qui a été
jeté
au sein d’une nature hostile, de sorte qu’il lui faut sans cesse s’ef
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n œil te fait tomber dans le péché, arrache-le et
jette
-le loin de toi ». Mais Rimbaud est d’une autre trempe : il a déjà pro
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es touches un peu bourrues, un peu précieuses, il
jette
l’esprit du lecteur dans le vif d’un sujet, et loin d’exploiter l’ava
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s baptiser d’ordures, eux et leur parenté, de les
jeter
dans le lac de Schwyz, etc., « et ce sera pour la vertu, quarte colon
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ernel paradoxe de la vie et de la mort du Christ,
jette
sur tous nos sérieux, poses et amusettes, une ironie, ou ce qui est p
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ignaux. Les autres (voyez leurs journaux) se sont
jetés
dans un énorme embouteillage, il n’y a plus qu’à se laisser pousser d
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fort instructifs. Ce terme de personne, que nous
jetions
alors dans le débat politique et culturel, et qu’on nous reprochait n
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et les vices des entraves du respect humain, nous
jette
dans le grand jeu du péché et de la grâce, et se confond avec la Char
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’arrière. Et voici le journal de cet intellectuel
jeté
dans un cul de bassefosse par le jeu de l’état civil. Qu’il ne s’y mê
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nte pour l’esprit. À peine l’a-t-on fini qu’on se
jette
sur Sorel, sur Madelin et sur Aubry, pour leur arracher des aveux à l
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ent des caporaux. Ainsi l’Autriche fascinée s’est
jetée
dans la gueule du dragon, après avoir trompé et désarmé la résistance
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gine — au sens fort — la personne. Il ne faut pas
jeter
la vie avec l’erreur, mais aimer mieux. Non pas éteindre ou dépasser,