1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 ’Ecclésiaste, ce grand maître du vrai réalisme. «  Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras ;
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
2 us la rassurons. Tout se réduit à quelques bombes jetées par erreur sur Lausanne et Genève, il y a plusieurs semaines. Quels j
3 autour de moi depuis un certain temps. Quand j’ai jeté ma dernière cigarette, il l’a ramassée en vitesse et s’est éloigné. P
4 . Ils se rappellent sans doute ce Polonais, tiré, jeté par la police franquiste hors du train qui sifflait déjà pour le dépa
5 pire éventualité ? Ils ne peuvent pourtant pas me jeter à la mer… Subitement, un coup de tampon, un bon sourire : — Thank you
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 par une crise, par une chute, que l’homme se voit jeté dans la réalité de l’existence, c’est-à-dire dans le temps, et la sou
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 a vers son coffre-fort. Il en sort un objet qu’il jette sur le bureau. C’est une sorte de vis énorme à tête carrée, longue d’
8 onsieur, c’était pire que sans rien ! J’ai dû les jeter par la fenêtre. Il me raconte encore quelques histoires du diable. Je
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
9 t reste tout excité mais sans objet sur lequel se jeter , il en fait voir de toutes les couleurs aux rudiments d’idées qui le
6 1946, Journal des deux mondes. Virginie
10 airies dorées. Soudain, un coup de vent violent a jeté contre la façade et nos visages un tourbillon de feuilles et de gross
11 se paraît nu dans un fin sweater jaune. Elle rit, jette la pomme, et nous salue de la main. Le jeune homme mince, immobile su