1 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
1 s qui sépare seul la maison du rivage, domine une jetée de bois, où parfois vient accoster en silence un canoë dont la rameus
2 nuit, nous en parlions encore. Le choc nous avait jetés dans l’élucubration, plutôt que dans la terreur ou la méditation. (Ce
3 u se rattraper. Nous prenions le breakfast sur la jetée . Conduit semblait-il à deux rênes par une superbe blonde quasi nue et
4 ria le docteur tandis qu’une vague submergeait la jetée , dispersant les assiettes et les œufs sur le plat. — Si vous me payez
2 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le point de vue moral
5 l’efficiency : pourquoi, disent-ils, n’avoir pas jeté la bombe sur une région dépeuplée du Japon, en invitant les seigneurs
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
6 nciens temps redoutait une fin qui l’eût pourtant jetée dans l’Éternel ? J’arpentais des avenues interminables, sillonnées d
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
7 le suppose, à la démocratie.) Et que je m’amuse à jeter des pelures d’orange sous les pas solennels des lieux communs ? Oui,
5 1946, Lettres sur la bombe atomique. La fin du monde
8 méricain ayant également annoncé son intention de jeter une bombe sur la calotte polaire, pour voir ce que cela donnerait, le
6 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
9 la retenir ! C’est comme si tout d’un coup on se jetait sur une chaise pour l’empêcher d’aller casser les vases de Chine. Si
7 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les cochons en uniforme ou. Le nouveau déluge
10 mai ou de juillet, deux ou trois bombes seraient jetées sur une flotte sacrifiée de cent bâtiments de guerre, dont plusieurs
8 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre des gaz n’a pas eu lieu
11 bien naturel que l’événement d’Hiroshima nous ait jetés pour quelque temps dans un état d’esprit d’Apocalypse. Mais les mois