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es thèmes toujours riches de la mise en scène, du
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d’acteurs, des réactions de la foule. Ce que Denis de Rougemont pas p
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l se battait. La guerre constituait une espèce de
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avec des règles, un commencement et une fin, ce qui est la définition
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ment et une fin, ce qui est la définition même du
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. Certes, on ne peut pas passer directement des relations individuelle
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ncieuse de l’ermite, au centre, et tout autour le
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bruyant du monde, et ces deux files de pèlerins, l’une qui descend à
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oilà qui me donne à penser qu’il n’y avait pas en
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, dans tout cela, rien qu’une innocente fantaisie. Il y avait peut-êtr
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u’il en est temps, des déviations qui feraient le
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de l’ennemi. Connaître la doctrine de l’homme fasciste, c’est définir
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âtre. Serait-ce que le paysage lui-même invite au
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, avec ses décors partout suspendus, pans de forêts, portants de roche
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ollectivistes, et la pièce à trois personnages au
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sacral et militaire. Tout récemment, le chef d’un des États voisins p
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blème tout à fait analogue qui se posait lors des
Jeux
olympiques.) Or, il se trouve, par chance, que l’élément choral est d
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bir le temps brutal des événements. Ils mènent le
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, jusque dans mes pensées. Désorganisent la méditation. Et me contraig
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e que la politique leur a paru jusqu’à présent un
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déplaisant… ; cela équivaut à dire que la moitié des citoyens suisses
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g violent, et quand les lansquenets trichaient au
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mortel, quand les canons détruisaient l’art des armes, on rentrait éc
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ne pour y faire la Réforme. Il écrira d’abord des
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de carnaval qui sont en vérité bien plus que des satires « contre le
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comme sa Danse des morts en était un. Le premier
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se termine sur ce vers : Amen. Scellé avec le poignard suisse16. Et