1 ous inventons le collectivisme… Et l’on aura beau jeu de m’opposer des textes apparemment ruineux pour ma thèse des deux Vo

2 nt supprimées en Europe ? Telle était la règle du jeu . Nous ne demandions pas comment faire pour obtenir l’union économique

3 aucoup de députés — n’hésite pas, lui, à jouer le jeu de « ce qui se passerait si… » Seulement, il a tendance à jouer perda

4 Europe ne serait guère, n’ont pas été retirées du jeu mondial, mais seulement détrônées régulièrement, puis métamorphosées

5 ire. Il est né d’une dialectique idéale et non du jeu des forces économiques, qu’il a faussé en y intervenant, et qui tend

6 idente et presque informulable, que dans le libre jeu de ses diversités. Mais il est temps de nous demander d’où proviennen

7 idente et presque informulable, que dans le libre jeu de ses diversités. Mais il est temps de nous demander d’où provienne

8 ffets et des causes. Au début, il y a le rêve, le jeu  ; plus tard viennent l’industrie et les gros dividendes : mais ceci n

9 vés comme animé, animation, ou même animosité. Le jeu « animé » d’un pianiste, par exemple, manifeste une réalité qui n’est

10 des roués au lieu de la candeur monumentale, les jeux d’esprit au lieu des drames du spirituel. Selon les sociologues, la p

11 troit compartiment natal, iront chercher dans les jeux de la synthèse et dans les larges vues panoramiques les grandes dimen

12 rxistes, ou corporatistes. Nos vrais « meneurs de jeu  » seraient à la fois : la grande industrie, les Groupes d’Oxford, la

13 oque — n’eurent d’autre effet que de me piquer au jeu . Bien décidé à n’en pas tenir compte, je finis par accepter la propos

14 i ne repose sur la libre discussion, sur le libre jeu des partis, et sur la liberté de l’opposition, majorité de possible d

15 turel, il m’a produit en lumière et fait venir en jeu , comme on dit. L’aventure se noue en 1535, année cruciale où, tandis

16 stances concrètes : d’où l’absence de doute et de jeu , de gratuité et d’ornements, d’où la nudité de la parole, mais aussi