1 s contrats sacrés (cas de la Bretagne) ou par des jeux de traités plus ou moins discutables. L’unification totale ne s’est i

2 d’autre. Démontrer qu’il n’a pas existé serait un jeu  : père inconnu, cadavre disparu, témoignages contradictoires de ceux

3 rer que finalement, rien n’est possible. C’est un jeu qui peut être instructif pour tous, mais le sera certainement pour mo

4 cipatives. Ceci est heureusement un pur et simple jeu de l’esprit. Il n’y a aucune espèce d’incompatibilité entre les deux

5 férents fond comme neige au soleil, par le simple jeu des mariages entre cousins plus ou moins rapprochés, ayant, par consé

6 mblait être un simple pion des Américains dans le jeu de la guerre froide. Ce n’est pas et ce n’a jamais été votre position

7 ses problèmes spécifiques, tels que L’Europe en jeu , Vingt-huit siècles d’Europe , Lettre ouverte aux Européens ou R

8 ousie ou dépit amoureux). Il y a du travail et du jeu pour beaucoup, dans cette aventure. Mais quelles sont ses chances de

9 alitaires3, car il faut être deux pour jouer à ce jeu -là, celui de l’Équilibre de la terreur, garant de la paix, nous assur

10 arts et les sciences humaines. On imagine un joli jeu électronique à partir de données de cet ordre traduites en dialogues

11 vient vers moi l’air sombre et me dit d’entrée de jeu  : « Votre dernier livre est un livre dangereux ! J’ai pu le voir, par

12 oup apporté, surtout pour mon étude des Règles du jeu , ouvrage qui devait introduire La Morale du But , mais pour le momen