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yons les faits. La politique, en France, c’est le
jeu
des partis : tout le monde s’en plaint, mais y joue de plus belle. En
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mais y joue de plus belle. En Amérique, c’est le
jeu
des pressions, du business et des grands syndicats : on n’y joue que
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n’y joue que pour de l’argent. Ailleurs, c’est le
jeu
sans partenaire du parti unique au pouvoir : un jeu truqué où le cito
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u sans partenaire du parti unique au pouvoir : un
jeu
truqué où le citoyen perd à tout coup. Nous voici loin de notre défin
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tions de la politique en soi, c’est-à-dire sur le
jeu
de partis qui se voudraient chacun aussi grand que le tout, mais sans
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trop. Je pense qu’ils n’en font pas assez, car le
jeu
des partis n’est pas de la politique. C’est une manière d’esquiver le
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tibles dont le souci dominant est de continuer le
jeu
, sans espoir bien sérieux de gagner la partie, c’est-à-dire d’arriver