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de connivence avec les « méchants ». Il fait leur
jeu
, dit-on, même s’il se croit sincère. C’est un naïf, ou un rusé, ou bi
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’y a rien là de diabolique, tout au contraire. Le
jeu
mondain, s’il est bien joué, ménage autant de liberté qu’il ne suppos
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qui les font aller là-bas. Alors il y a un petit
jeu
subtil entre les militaires et les savants, dans cette affaire ? Les