1 out à gagner à se laisser berner et houspiller au jeu des sentiments. Elle perd son mordant à n’ordonner que des idées, tro

2 un film où les épisodes s’appellent par le simple jeu des images, se voient par transparence l’un au travers de l’autre. Il

3 nsonge dans le grand monde : plutôt des règles de jeu , et personne n’a l’idée d’y croire. Le pire mensonge est dans la vie

4 tement. Ni plaisir ni profits. Voilà bien à quels jeux aboutissent tant d’ambition et le sérieux dans les affaires : une civ

5 se souviennent. Tout est lumière dans cet espace, jeu silencieux de lustres, de glaces et d’acajous polis. On entend le ryt

6 t dont parfois, au comble de la turbulence de tes jeux , un violon décrit vite quelque chose, d’une ligne nette, insaisissabl

7 licence poétique… (Voici bien la fatigue avec son jeu des définitions)… pas de but. — C’est vous qui le dites ! — Vous, nat

8 onfondant leurs flammes. Dix années dans le Grand Jeu . Dix années où le génie tourmente cet être faible, humilié par le mon

9 a manie de tomber. Dès que l’esprit entre dans le jeu , il provoque des lenteurs et des retards d’où naissent le désir et la

10 e la matinée se passe à cheval au bord de la mer. Jeux du rivage : sur les montures à poil on s’élance au galop dans les flo

11 son se prolongent jusque vers onze heures, en des jeux infinis sur les vastes ondulations des terres. À l’horizon, des ailes

12 ous empêtrent, jusqu’au-delà de nos adolescences. Jeux des enfants prussiens : s’asseoir à six ou sept sur un bœuf jusqu’à c