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ératrice, la sécurité et le risque, les règles du
jeu
qui sont pour tous et la vocation qui est pour un seul. Crucifié, dis
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ce que certains vont me dire : que je fais là le
jeu
de la réaction, selon l’expression consacrée — mais c’est faux ! C’es
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rvice commandé, dont j’ai déjà parlé, qui fait le
jeu
de la réaction en écœurant par sa tactique ceux qui se dévouent à la
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dirigeants ne sont pas qualifiés pour arbitrer le
jeu
des nations. Chacun sait qu’il serait déraisonnable de choisir comme
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ne sait pourquoi, et bien peu se le demandent. Le
jeu
électoral vit de nos oublis, et dure à la faveur de notre étourderie.
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l’urgence est telle que discuter serait faire le
jeu
de l’ennemi, et que demander à voir serait trahir… Ces habitudes ou m
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pense encore dans le cadre des nations, quand le
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des forces réelles est international et opère à l’échelle des contine
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juin de 1789, personne ne prévoyait le serment du
Jeu
de Paume, qui marqua le lendemain un tournant de l’Histoire. Ce que j
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fond de l’affaire, c’est que les Soviets, dans le
jeu
mondial, se sentent le partenaire le plus faible. Tout leur effort co
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our nous, Continentaux, c’est l’Europe qui est en
jeu
. Pour les Anglais, c’est tout d’abord l’Empire, et l’union de l’Europ
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mmun aux mots-clés du débat historique qui met en
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notre vie même. Pour rendre leur plein sens et leur force d’appel aux