1 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
1 somme bien plus intéressant de jouer la règle du jeu que de « faire l’écrivain » aux dépens du sujet et de la manière de l
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 e, mais qui explique les conditions de fait et le jeu d’intérêts qui le rendirent possible. L’Europe du xiiie siècle était
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 as même celles de la Confédération. C’est dans le jeu ménagé entre ces éléments, dans la tolérance nécessaire que développe
4 inale que sa fonction. Quatre facteurs entrent en jeu pour la déterminer : les partis politiques, les cantons, la langue, l
5 ient représentés comme accidentellement, selon le jeu des trois autres facteurs, et selon les personnalités disponibles. Qu
6 Cette tolérance n’est pas seulement morale, ce «  jeu  » est prévu par les lois : ce sont les droits d’initiative, et surtou
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
7 Europe, elle les filtre et les divise par tout un jeu d’écluses. Et il apparaît, au total, que la lenteur à s’adapter, qu’o
5 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
8 sus de l’instruction et de l’éducation la part du jeu et des instincts fondamentaux. Ils se fondent sur une psychologie de