1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 sont pas dites en vain. Stades que parcourent de jeunes et purs courages, donnez-moi votre silence jusqu’à l’heure. Que je ta
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
2 travaux. Avec la conférence de M. Jean Cadier, un jeune pasteur français, on descendit — ou l’on monta suivant M. A. Léo — du
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 du printemps —, l’heure est venue de la violence. Jeunes tempêtes, lavez, bousculez ! La parole est aux instincts combatifs et
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 eux. Ce récit des premiers combats de taureaux du jeune Montherlant est en réalité un nouveau tome de ses mémoires lyriques.
5 est « par la divination de cet amour qu’Alban (le jeune héros du récit) sent ce que sent la bête en même temps qu’elle. Et pa
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)j Neuchâtel va-t-elle redevenir
7 nécessaires à ce regroupement existe : il y a de jeunes peintres neuchâtelois. Quant à savoir s’il est possible déjà de disce
8 de combat nécessaire au développement de certains jeunes tempéraments leur fait défaut dans la même mesure. Ainsi risquent de
9 ales, et qui forme ailleurs le premier public des jeunes artistes, n’existant pas ici, le peintre se trouve placé d’emblée en
10 Un jour en effet l’on apprend que tel tableau de jeune est « coté » chez un gros marchand. Aussitôt, les feuilles locales re
11 s dont nous allons parler méritent d’être appelés jeunes , c’est par leurs œuvres avant tout. D’autre part je préfère la légend
12 e l’histoire : au seuil d’un article consacré aux jeunes artistes neuchâtelois, je vous présente Conrad Meili, un Zurichois qu
13 omper plus. ⁂ À vrai dire j’en vois peu parmi les jeunes qui vouent tout leur amour à la peinture pure. Je crois même que, Pau
14 on mari). Et puis voici François Barraud, le plus jeune des frères. Il vient apporter des dessins qui ressemblent beaucoup au
15 nnées d’avance sur ses contemporains. Un jour les jeunes le rattrapent. Salutations, présentations : « André Evard. — Les jeun
16 Salutations, présentations : « André Evard. — Les jeunes peintres. — Vous suivez la même route que nous ? À la bonne heure ! »
17 elons le souvenir de Charles Harder, qui est mort jeune , sans avoir pu donner toute sa mesure. Il a laissé surtout des dessin
18 fait qu’affirmer l’existence et la vitalité d’une jeune peinture originale dans un pays qu’on s’est trop souvent plu à dire s
19 u dans le numéro de février de cette revue. j. «  Jeunes artistes neuchâtelois », Das Werk, Zurich, vol. 14, avril 1927, p. 12
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
20 ieux qui les revêtiraient. Vint à pas pressés une jeune femme, chapeau rouge et manteau de fourrure brune, inévitablement. Et
21 ui se passa fut, hélas, non moins inévitable : la jeune femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder a
22 tes athlétiques et la silhouette échassière de la jeune duchesse de Clam-Clamannsfeld dont le manteau de velours rose laissai
7 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
23 yent lentement dans la musique. Je n’aime pas les jeunes Doktors à lunettes, en costume de bain, qui pagayent vigoureusement,