1 étudié le nazisme in vivo, parce qu’à l’époque un jeune responsable nazi que j’avais rencontré à Paris m’avait mis au défi d’

2 u surtout le sentiment de toucher aussi un public jeune ou parfois très éloigné de l’université. J’ai reçu des lettres émouva

3 ule des citoyens responsables, en particulier les jeunes . À Creys-Malville cet été, il y avait à peu près 80 000 personnes pou

4 ençant… Qu’est-ce qui fait courir ces foules, ces jeunes  ? La peur du cataclysme que vous évoquiez tout à l’heure ? La crise d

5 cap… Oui justement, comment changer de cap ? Plus jeune , je disais, comme d’autres, qu’il faudrait une révolution. Maintenant

6 ier, Jacques Maritain, Robert Aron. Il y avait de jeunes pasteurs, des religieux. C’était le creuset où devaient naître les mo

7 logistes. L’été dernier, il y a eu plus de 50 000 jeunes à Malville…Quelle cause peut faire bouger autant de monde ? Tout se t

8 ous n’aurons pas fait les régions ». Je crois aux jeunes pour faire l’Europe dans la mesure où on leur apprendra que l’histoir

9 siècle l’année 1924. Cette année-là, à Vienne, le jeune comte Coudenhove-Kalergi, né à Tokyo, vingt-sept ans auparavant, d’un

10 teurs de la communauté. Entre le personnalisme du jeune Marx et le Goulag, il n’y a pas seulement Staline, comme on a voulu n

11 ne œuvre. Toutes les enquêtes le confirment : les jeunes sont plus sensibles à l’aspect « œuvre commune » du mariage que nous

12 tonal unitaire qui risquerait de faire prendre au jeune canton un nouveau retard sur l’évolution générale, cette fois-ci sur

13 , ne passionne pas les foules, et surtout pas les jeunes qui s’intéressent par contre à l’écologie, aux problèmes soulevés par

14 perspectives, c’est aussi faire l’Europe dans les jeunes esprits, et c’est montrer son unité fondamentale, base de l’union qu’

15 posées ». Là encore, des populations (surtout les jeunes ), sensibilisées depuis quelques années par les campagnes pour sauver

16 l n’est compris et assumé par le citoyen, surtout jeune . La maxime de contrainte ne peut conduire qu’à la dissolution de tout

17 n des autorités scientifiques ». Mais en 1899, le jeune Henry Ford fonde une entreprise de construction d’automobile à un mom

18 illeurs le thème d’une enquête qu’il fit avec les jeunes écrivains de l’époque, dans la NRF , dans les années 1930. Mais si s

19 réels, éduquons-les. Cela doit entraîner, dans la jeune génération, des modifications profondes de l’éthique du travail. Au l

20 s « non-conformistes des années 1930 », celle des jeunes mouvements personnalistes français, anglais, belges, hollandais, alle

21 crit à une centaine « d’intellectuels » d’Europe, jeunes et vieux. T. S. Eliot m’a répondu : « I feel that at the present time

22 ont pas été remplacés, que je sache, par des plus jeunes . Lesquels se trouvent désormais mobilisés par des activités purement

23 il y eut l’affrontement du 31 juillet, la mort du jeune Michalon tué par une grenade, beaucoup de blessés, et quand je retour

24 i à discuter bien à l’abri et dans le vide et des jeunes se font tuer, ce n’est plus supportable. Il nous faut faire quelque c

25 Valéry, Claudel, Proust, Maeterlinck, Ramuz et le jeune Malraux dans le domaine français ; Stefan George, Tho­mas Mann, Rilke

26 s, James Joyce, D. H. Lawrence, T. S. Eliot et le jeune Wystan Auden dans le domaine anglais ; et dans le reste de l’Europe,

27 incant ! Autrefois, dans les années 1919-1939, un jeune écrivain français se sentait dignus intrare s’il était enfin publié p

28 e leur ville, de leur village, de leur ferme, les jeunes soldats russes ne comprendraient bientôt plus ce qu’ils font là. L’af

29 et non pas de santé civique. Vous croyez que les jeunes , sceptiques comme ils sont, se laisseraient mobiliser ? Je puis tout

30 suite vous donner une réponse. Ce qui manque aux jeunes aujourd’hui, c’est un avenir. L’angoisse qu’ils ont, pas toujours con

31 e vois pas de cause plus enthousiasmante pour des jeunes . Mais encore faudrait-il y aller carrément, ne pas mettre son drapeau

32 isé lors des élections françaises de 1978 par les jeunes du RPR, qui en ont fait la devise de leurs affiches, alors que leur p

33 du cerveau. Mais si l’on donne des facilités aux jeunes de moins de 18 ans (les synapses se développent jusqu’à cet âge) on l

34 du cerveau. Mais si l’on donne des facilités aux jeunes de moins de 18 ans (les synapses se développent jusqu’à cet âge) on l

35 ’ordinateurs se multiplient : aux États-Unis, des jeunes déversent sur eux du miel ou leur tirent dessus à la mitrailleuse.

36 ndes du saint Graal, semblaient bien parler à ces jeunes collègues de l’université iranienne comme à des élèves représentatifs