1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
1 rtoires, tandis que celles des compositeurs de la jeune génération sont presque uniquement jouées dans leur pays d’origine. L
2 e uniquement jouées dans leur pays d’origine. Les jeunes compositeurs américains connaissent rarement ce que font leurs confrè
3 res européens ; la situation est la même pour les jeunes compositeurs des différents pays européens. De plus, les compositeurs
4 end à créer un esprit de provincialisme parmi les jeunes et les amène à dépendre plus étroitement des traditions et techniques
5 et orchestres hésitent à présenter des œuvres de jeunes compositeurs étrangers, si ce n’est pour des raisons de prestige ou d
6 u de critiques ont la possibilité d’apprécier les jeunes compositeurs étrangers, puisqu’ils ne sont pratiquement pas joués. De
7 sicaux ne peuvent que très rarement rencontrer de jeunes compositeurs et établir ainsi avec eux une base de compréhension et d
8 ts sont les suivants : 1. Donner l’occasion à de jeunes compositeurs de faire jouer et apprécier leurs œuvres. L’atmosphère i
9 ours desquels seront exécutés : a) des œuvres de jeunes compositeurs européens et américains, b) des œuvres rarement jouées d
10 meilleures œuvres qui auront été commandées à 12 jeunes compositeurs. Le règlement de ces prix fera l’objet d’un communiqué d
2 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
11 il pourrait ajouter à la poétesse de huit ans les jeunes Russes de 4 à 18 ans qui exposent dans une galerie de Londres. « Réal
3 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À pied d’œuvre (avril-mai 1956)
12 tout temps » et qu’elle suffit à l’éducation des jeunes , alors qu’elle n’a guère que cent à cent-cinquante ans d’âge (comme l
4 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
13 erminée ; 2. former moralement et socialement les jeunes individus. Dans les sociétés « traditionnelles », régies par le sacré
14 aire à éliminer le mystère. Au lieu d’inspirer au jeune disciple un respect religieux des rites qui sont censés gouverner le
15 me temps : c’est celui qui consiste à intégrer le jeune individu dans sa communauté ou ses communautés locales. Car celui qui
16 t, mais une aventure personnelle, à la mesure des jeunes les plus entreprenants : ceux qui attendaient un but digne qu’ils s’y
5 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Ce n’est pas au pied du mur… (juin-juillet 1956)
17 pe. Elle a décerné des bourses importantes à cinq jeunes compositeurs… Toutefois, c’est encore peu, au regard de nos plans. Le
6 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Prix européen de littérature n’a pas été donné en 1956 (juin-juillet 1956)
18 rs centaines de milliers de lecteurs tenterait de jeunes auteurs non encore « découverts », et les induirait à écrire des œuvr
19 emont, attribua le 5 mai 1956 quatre bourses à de jeunes compositeurs, leur donnant « la possibilité de travailler pendant une
7 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Bureau européen de l’éducation populaire (août-septembre 1956)
20 dans un district agricole. Là, dans une maison de jeunes ou un foyer culturel, on organise des débats, on projette des films,
8 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
21 son indépendance, un troisième est encore un peu jeune , etc. L’Association n’est rien de plus qu’un club. Il est communément
9 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
22 Guy Madiot, Fédération française des maisons des jeunes et de la culture, Paris ; Abbé Gérard Pfulg, inspecteur de l’enseigne
10 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
23 ce professionnelle. D’autre part, s’adresser aux jeunes . Il s’agit de leur ouvrir un champ d’action où le désir d’assumer des
11 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La création d’un Centre européen d’enseignement postuniversitaire (juillet 1958)
24 n besoin souvent exprimé en Europe. Agriculteurs, jeunes patrons, syndicalistes, juristes, sociologues, pharmaciens, hygiénist
12 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
25 alismes et regroupe ses forces ; au moment où les jeunes nationalismes d’outre-mer s’affirment bruyamment et tendent à se grou
26 éterminée ; — former moralement et socialement le jeune individu. Dans les sociétés traditionnelles, régies par le Sacré (Ant
27 is à l’ancienne mode entendait dire qu’il faut au jeune enfant un dressage suffisant pour lui permettre, un jour, de se débro
28 geait dans mon coin, j’étais un cas désespéré. Un jeune lieutenant, cependant, vint m’observer. « Vous tirez mal, dit-il, vou
29 eul. » Le lendemain, je gagnais le galon d’or. Ce jeune lieutenant avait le sens du But, il a donc pu me le communiquer en qu
13 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
30 s « instructions officielles », de « préparer les jeunes à la vie démocratique et à la compréhension internationale ». L’accen
31 apprenant à connaître l’ensemble européen que le jeune citoyen pourra comprendre à la fois ce que son pays représente de par
14 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
32 tions internationales. Il y consacrera sa vie. Ce jeune Polonais sans nation, mais non pas sans patrie, va recevoir une éduca
33 ues, et deux ans plus tard il deviendra « le plus jeune docteur ès lettres de l’Europe ». À Paris, tout l’accueille, et d’abo
34 upe de patriotes résidant en Galicie. Il offre au jeune publiciste de 23 ans de le représenter à Londres et d’y organiser un
35 demandé. Néanmoins, à la frontière française, un jeune commissaire spécial de police lui refuse l’entrée. Longue discussion,
36 la gare Saint-Lazare, vers 3 h du matin, un autre jeune « amateur de sûreté nationale » vient l’interroger, et en dépit du sa
37 pre gré, je me verrai contraint de vous expulser… Jeune et arrogant comme j’étais, ma rage éclata et je dis : — Voulez-vous f
38 tat. Le capitaine du « Roger de Lluria » était un jeune peintre, le premier-maître un mathématicien, et le second-maître s’es
39 ef. Ils formaient une sorte de société secrète de jeunes patriotes, nommée simplement le Comité d’action. La première organisa
40 ton. Retinger et un autre Polonais de Londres, le jeune lieutenant Celt, qui l’accompagnait, passèrent le reste de la nuit da
41 e on ne trouvait pas de place pour le coucher, le jeune Celt, qui l’accompagnait avec un infirmier, alla trouver le chef de p
42 alie. Ces trois mouvements attiraient surtout les jeunes , de 18 à 40 ans. (L’UEF compta jusqu’à 100 000 membres inscrits vers
15 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
43 ion soviétique, l’auteur américain prétend que le jeune soviétique de 7e année qui fait de l’anglais en sait davantage sur le
44 r les littératures américaine et anglaise, que le jeune américain du même degré et du même âge. Nous assistons là à un phéno
16 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
45 de trouver son Histoire ! », disait récemment un jeune Sénégalais.) Une des premières conditions du dialogue, tel que nous l
17 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [Avant-propos] (juillet 1963)
46 attention du Centre européen de la culture, et du jeune Institut d’études européennes qui vient d’être créé dans ses murs. D’
18 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
47 re tout d’abord dans l’esprit et le sentiment des jeunes générations confiées à votre enseignement. ⁂ Qu’est-ce que le civism
48 perspectives, c’est aussi faire l’Europe dans les jeunes esprits, et c’est montrer son unité fondamentale, base de l’union qu’
49 rquoi notre Campagne pour l’éducation civique des jeunes Européens doit comporter une campagne pour l’éducation artistique des
19 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
50 a région au xxe siècle Il n’est rien dont les jeunes sociologues s’occupent avec plus de passion en Europe. C’est qu’en ef
51 s’organiser et s’affirmer. Et comme elles seront jeunes et souples, pleines de vitalité, ouvertes sur le monde, elles noueron
52 lois nouveaux, fermeture d’usines, émigration des jeunes et des cadres… » Le dépérissement régional n’est pas particulier à la
53 urd’hui l’enseignement des mathématiques aux plus jeunes classes des nouvelles générations. De même, la machine à calculer suf
20 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
54 Karl Marx d’après 1848, ce « révolutionnaire mort jeune  », comme l’appelaient Aron et Dandieu, celui que Bakounine comparait
55 ù seront les masses ? Dans Tel Quel. (N. B. « Les jeunes pensent… disent… refusent… exigent… » Si l’on s’en tient aux nombres,
56 fédéralistes européens touchent beaucoup plus de jeunes que les sectes gauchistes. Et c’est cela qui comptera lors d’élection
57 rent favorables à l’union de l’Europe, et que les jeunes de 18 à 35 ans constituent 75 % de cette majorité.)   d) « Mais où e
58 ittérature, c’est-à-dire pollution idéologique de jeunes cervelles excitées mais incultes.   e) « La culture, qu’est-ce que c’
21 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
59 laisse béant sur le néant, laisse des millions de jeunes — et d’autres ! — dans l’angoisse et l’irresponsabilité forcée, livré
60 les trois-quarts, soit 75 % exactement, sont des jeunes de 18 à 35 ans. (Comme disait Louis Armand : « Il meurt tous les jour
61 éminin, pouvoir noir, pouvoir des fleurs, pouvoir jeune , pouvoir régional, etc. Le seul pouvoir qui importe est celui que l’o
22 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
62 u au contraire, c’est que l’objet est encore trop jeune , et qu’il convient, avant de s’en occuper, de s’assurer de sa réalité
63 posées ». Là encore, les populations (surtout les jeunes ) sensibilisées depuis quelques années par les campagnes pour sauver l